Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (31)

Nous venons de fermer l’institut pour un mois et suivant les plans de chacun ou de chacune avant le départ demain matin, nous partons dans plusieurs directions.

Avant d’aller chercher Marie-Ange, j’appelle la personne qui s’occupe de ma villa de Saint-Palais. Elle me confirme que tout est prêt pour nos invités.
Comme prévu je la préviens qu’il y aura une personne supplémentaire.

Nous embrassons Serge et Antoinette qui, hélas, prenne un chemin différent, nul doute que l’évolution de leur couple se serait accéléré au contact de tous ces libertins et libertines dont nous sommes devenues au fil des mois et des aventures que nous avons su provoquer.
Nous disons à demain à Alain, Odile et Véronique ainsi qu’Anne et Aline qui ont cours de code avant les vacances.
Elles partent vers l’auto-école. Stéphane doit les ramener vers leurs parents après.
Tout est fermé, même l’eau et nous partons chercher mon amie.

À quelques mètres de chez elle, nous apercevons une belle black sur le trottoir qui nous attend avec sa valise et sa mallette de travail.

• Quel beau morceau, tu as l’œil pour me trouver des filles canons !

Je suis contente que Valérie aime ma conquête bien que je sois sûr que cette conquête risque de passer dans ses mains et surtout sur sa chatte pour prendre une petite douche.
Lorsque la voiture s’arrête, Marie-Ange me reconnaît et son visage s’illumine.
Nous descendons pour faire les présentations.
Je m’occupe de la valise, je vais la mettre dans le coffre.
Tiens bizarres, Virginie a déjà mis nos deux valises de travail dedans.
Nous partons au pavillon, marraine s’arrête pour faire le plein d’essence afin d’être tranquille demain.
Nous entrons et sans se poser de questions avec Virginie, nous enlevons nos vêtements et elle part vers le jardin.
Marie-Ange n’a aucune hésitation et se met en tenue d’Eve.
Je la prends par la main et je l’entraîne dans le jardin.

Lorsqu’elle voit la piscine, un petit cri sort de sa bouche.

• Quelle beauté.

Virginie est déjà dans l’eau faisant des longueurs.

• Viens.

Nous plongeons, rapide Marie-Ange à très vite fait de me prendre deux à trois longueurs.
J’essaye de m’accrocher, mais je ne lui reprends rien. Vingt longueurs et je rends les armes, j’ai trouvé mon maître.
Au passage suivant, elle me sourit.
Assise sur les marches, je la regarde et à sa dernière longueur, elle se laisse glisser jusqu'à moi et termine dans mes bras.

• Une fille des îles te battra toutes les fois, la maison de mes parents donnait directement sur la plage et depuis l’âge de deux ans, nous nagions en bande sans aucune protection de nos parents.
Dès mes dix ans, je parcourais la plage à la nage d’un bout à l’autre pendant des kilomètres dans un crawl de plus en plus rapide.

Acceptant ma défaite en natation, je tiens à lui prouver que j’ai des atouts sur d’autres points de la vie.
Aussitôt nos bouches se trouvent, nos corps s’enlacent. Ils sont contents de se retrouver.
Marie-Ange rapidement pénètre ma chatte avec ses doigts.
Tient une idée, il y a longtemps que la méthode Anne est absente de cette piscine.
Je lui fais entrer ses doigts, jusqu'à son poignet. Je pense qu’elle hésite à aller plus loin de peur de me faire mal.

• Pousse un peu, tout va rentrer, ma petite Anne m’a initié et me la met souvent, tu vas voir comme tu vas me faire jouir.

Une hésitation, elle force et tout entre.
Je retrouve la sensation que j’aime tant d’avoir la chatte remplie à ras bord.
Je lui fais ouvrir les doigts et détendre le poignet. La jouissance me foudroie, mais avec l’expérience que j’ai acquise dans le fisting, je reste maître de la situation.
Marie-Ange fait tourner sa main dans ce puits d’amour qui lui rend en l’inondant de mes sécrétions. Lorsque j’ai joui, elle retire sa main et en me regardant, elle se lèche les doigts.


• J’ai compris, quelles grandes cochonnes j’ai rencontrées, je vais tout faire pour être à votre hauteur.
• Alors, accroches-toi car sur le plan des salopes et des putes, moi qui ne connaissais rien du sexe, il y a quelques mois, elles m’ont fait accélérer ce qu’un corps peut faire pour jouir de 2 à 10 sur une échelle qui en compte douze échelons des plus belles salopes.
Tu verras Valérie, elle est au douze maximum.
Je la reprends dans mes bras et nous nous prenons la bouche goulûment, nos langues tournant dans tous les sens.
À table.
Madeleine est au bord du bassin. Elle a passé sa guêpière à la demande de Virginie quand elle la sortie de son sac dans la salle à manger.
Comme nous sommes placés, nous avons tout loisir d’admirer sa petite chrysalide presque entièrement épilée.
Pendant notre baignade et nos ébats amoureux, elle a préparé la table.
Comme, à son habitude et en l’honneur de notre nouvelle amie les chandelles éclairent nos assiettes.
Virginie tient à ce que Madeleine soit considérée comme l’une des nôtres et pas comme notre employé. Elle lui a bien dit qu’elle avait un rôle de gouvernante et à ce titre elle mange avec nous.
Nous sommes toutes les quatre à table. L’atmosphère est détendue.
À un moment, je vois le regard de Marie-Ange se troubler et sa voix devenir rauque quand elle s’exprime.
C’est reparti, je suis sûr que si je regarde sous la table, Virginie a enfoncé ses doigts de pied dans son vagin.
Zut ma serviette est tombée, je me baisse pour la ramasser.
Bravo bien vu, Marie-Ange avec les cuisses écartées reçoit les orteils de la maîtresse de maison dans la fente confirmant l’échelon douze sur l’échelle du plaisir dans cette maison.

• Tu as vu cette belle salope as l’air d’aimer ça, si je continue cinq minutes, je suis sûr qu’elle va s’envoyer en l’air.
• Oh ! vas-y, j’ai tellement envie de jouir depuis que, j’ai masturbé Christine avec ma main au fond de son vagin, la méchante aurais pu me faire connaître ce plaisir.


Six minutes et elle se tortille lorsqu’elle jouit.
Ayant repris ses esprits.

• Si j’avais su que j’arriverais à prendre mon pied avec des doigts de…

Moi seul comprend l’allusion espagnole de la phrase qu’elle vient de dire sans la finir sous la puissance de la vague qui la submerge.
Nous partons tous à rire.

• Bon, nous dit Virginie, assez baisé, parlons de choses sérieuses.
Christine m’a dit dans quelle difficulté financière tu es. Logement exigu, et surtout travail, malgré la valeur de ce travail.
Nous avons réfléchi et nous avons conclu que pour qu’une activité nouvelle prenne son essor, il faut proposer le produit à une grande quantité de cliente.
Jusqu'à présent, tu n’as trouvé des clientes que par un peu de pub dans les commerces de ton quartier et par le bouche-à-oreille.
Par contre, à l’institut, nous avons le nombre de clientes qui te manque.
De plus depuis quelque temps, elles sont nombreuses à nous demander ce produit.
À la rentrée, nous avons décidé d’agrandir nos activités.
À cet effet j’ai racheté l’espace disponible au-dessus de notre salon actuel.
Sona et autres activités sont au programme.
Nous pourrions donc prévoir un service manucure que tu pourrais animer. La pub serait assurée par le site Internet de l’institut et la presse où nous passons des encadrés.
J’ai même dans l’idée grace au fichier avec les coordonnés de toutes nos clientes de faire une journée porte ouverte où tu pourrais faire gracieusement les ongles des clientes pour qu’elles reviennent régulièrement les refaire dès qu’ils seront écaillés.
Je suis certaine au bout d’un mois que tu peindras moyennant finance des centaines d’ongles.
Sur le plan financier, tu pourrais avoir un fixe augmenté d’une prime par nombre de doigts de main peinte suivant des barèmes que nous calculerons et comme tout mon personnel une participation au résultat de l’entreprise.

Qu’est-ce que tu en, pense ?
• Je vais dire oui sans hésiter une seconde.
Pour deux raisons, votre amitié voire votre amour et l’occasion de sortir de ma galère. Je vous aime.

Prenant toujours l’initiative, Virginie nous demande de l’aider à tous débarrasser avant que Marie-Ange leur face voire ses dons en leur peignant les ongles gratuitement bien sûr.
Dans la salle à manger, elle se met au travail.
Pendant ce temps, Madeleine vient dans mes bras et m’embrasse tendrement.

• Quelle belle journée j’ai passée, je te serais toujours redevable du bonheur que je vis depuis notre rencontre.
• Attends revient.
• Christine, hier en mettant de l’ordre dans ta chambre, un tiroir était ouvert, j’ai voulu le refermer, quelque chose bloquait. Je l’ai ouvert en grand et sans le vouloir j’ai vu tous tes godemichés.
J’en ai vu dans les catalogues, mais jamais en moi. Me permets-tu d’aller en chercher un ?
• Bien sûr, ce qu’il y a ici est à ta disposition sert toi de tous ce qu’il y a dans cette maison sans me demander mon autorisation.
Est-ce que je te demande toujours ton autorisation quand je te mange la chatte !
Pareils pour toi.

Madeleine part dans la chambre et revient avec le sexe en ébène qui m’a été offert par « Tof » et ses copains.
Il avait été rangé avec les autres après mon anniversaire par Aline.
Elle le regarde, essaye de le mettre dans la bouche.

• Mon Dieu qu’il est gros, je crois savoir comment on s’en sert.

Elle le pose sur sa partie plate sur la table base du salon. Elle passe ces jambes de chaque côté et fait descendre sa vulve jusqu’au gode.
Lentement elle le fait entrer en elle.
Un centimètre, deux, sa passe, d’un seul coup, elle le fait pénétrer intégralement dans sa grotte. Je le voyais gros, mais jamais j’avais pensé qu’il serait aussi gros dans son ventre.

• Vhoua, je vais partir, Christine, viens m’aider, je vais m’écrouler.

Elle tombe dessus et il entre jusqu’aux couilles en elle.
Je l’aide à se relever, le gode suit dans sa chatte.
Elle s’affale sur le canapé, j’ai mal pour elle. Pourtant, son visage montre aucune trace de souffrance, au contraire elle semble afficher un terrible bien être à la pénétration de ce gode hors norme. Ce qui devait arriver arrive, sans rien faire, elle prend son plaisir.
Je l’aide à sortir l’objet. Il est tellement enfoncé, qu’il semble souder. Lorsque j’y arrive, je vois un long frisson parcourir son dos.
Entre-temps Marie-Ange a terminé les doigts de Virginie.
Quand je dis terminés les doigts, je devrais dire, finir de « peindre».
Elle s’occupe de Madeleine.
Ces doigts bien sûr.
Et, et si j’allais profiter des sources de ma marraine, il y a bien longtemps que ma langue a reçu des jets de son plaisir.
Lorsque je lui écarte les cuisses, je l’empêche de se défendre, ses ongles doivent sécher.
Dès que Marie-Ange a terminé les ongles de Madeleine, nous prenons le chemin des chambres.
Marie-Ange rejoint Virginie, j’en fais de même avec Madeleine.

• Christine, vous êtes folles, comment je vais faire la vaisselle avec des ongles aussi beaux, je vais avoir peur de les abîmer.
• Chaque fois qu’il le faudra, tu demanderas à notre grande et elle te les refera.
• Une fois de plus je te vois venir, chaque fois je devrais manger boire un café bien noir.

Demain debout six heures si l’on veut être à l’heure au rendez-vous porte d’Orléans.
On est en vacances, on est en vacances, les cahiers au feu…
J’ai envie d’ajouter et nos chattes au milieu…








































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